On est bien peu de choses, et mon amie la rose me l'a dit ce matin...
j'adorais cette chanson, mais je ne me suis jamais attardée sur le sens que portait cette phrase "On est bien peu de choses".
Mais quand j'y repense je réalise que cette phrase détient les clefs de l'essence de l'Homme.
C'est fou, mais c'est vrai! La moindre des choses nous calme, le plus futile incident nous met dans tous nos états. On est bien peu de choses!!
On peut être Roi du monde et en un clin d'œil, tout s'évapore comme si de rien n'était.
Quelques fois, on est très heureux et la simple lecture d'un message nous met dans un état de "je ne sais pas ce que j'ai" .
Je viens de lire un message très attentionné de la part d'un camarade de classe de mon école primaire, et à ma grande surprise, je n'ai pas réagi comme j'assume que je devais le faire. C'est vrai que ça fait plaisir d'avoir un vent d'enfance dans le visage de temps à autre, mais voilà, je me suis sentie toute envahie d'une tristesse inexpliquée. C'est comme si j'incarnais les vers de Paul Verlaine:
C'est bien la pire peine de ne savoir pourquoi,
sans amour et sans haine,
mon cœur a tant de peine..
Peut être que je me fais des idées, peut être que c'est normal. Que c'est juste mon imagination qui me fait des tours. Ou bien, peut être, que dans la vie, il n' y a point de "normalement", qu'il faut vivre, rire, pleurer, s'exalter, ou même déprimer de temps à autre sans se poser trop de questions; parce qu'après tout: "On est bien peu de choses"...
And I keep on walking down this open road, talking to the man who knows me. The man is me!!
j'adorais cette chanson, mais je ne me suis jamais attardée sur le sens que portait cette phrase "On est bien peu de choses".
Mais quand j'y repense je réalise que cette phrase détient les clefs de l'essence de l'Homme.
C'est fou, mais c'est vrai! La moindre des choses nous calme, le plus futile incident nous met dans tous nos états. On est bien peu de choses!!
On peut être Roi du monde et en un clin d'œil, tout s'évapore comme si de rien n'était.
Quelques fois, on est très heureux et la simple lecture d'un message nous met dans un état de "je ne sais pas ce que j'ai" .
Je viens de lire un message très attentionné de la part d'un camarade de classe de mon école primaire, et à ma grande surprise, je n'ai pas réagi comme j'assume que je devais le faire. C'est vrai que ça fait plaisir d'avoir un vent d'enfance dans le visage de temps à autre, mais voilà, je me suis sentie toute envahie d'une tristesse inexpliquée. C'est comme si j'incarnais les vers de Paul Verlaine:
C'est bien la pire peine de ne savoir pourquoi,
sans amour et sans haine,
mon cœur a tant de peine..
Peut être que je me fais des idées, peut être que c'est normal. Que c'est juste mon imagination qui me fait des tours. Ou bien, peut être, que dans la vie, il n' y a point de "normalement", qu'il faut vivre, rire, pleurer, s'exalter, ou même déprimer de temps à autre sans se poser trop de questions; parce qu'après tout: "On est bien peu de choses"...
And I keep on walking down this open road, talking to the man who knows me. The man is me!!
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